En 2020, les modalités de collecte de la taxe d’apprentissage (TA) ont évolué dans le cadre de la « Loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel », dite « Loi Avenir ».
Modalités de financement de la taxe 2022
Depuis 2020, la taxe d’apprentissage est égale à 0,68 % de la masse salariale. Cette somme est composée de 2 parties :
87 % de la TA est versée aux OPCO (opérateurs de compétences)
13 % est consacrée par l’employeur à des « dépenses libératoires directes »
Ce solde de 13 %, vous pouvez le verser directement au Lycée le Robillard habilité à les percevoir. Ainsi vous contribuerez à la formation des jeunes, au développement de nos centres de formation et renforcerez nos relations.
Comment procéder au versement ?
Votre taxe d’apprentissage doit être versée au lycée le Robillard avant le 31/05/2022 avec le code établissement 0141112H.
Vous avez la possibilité d’effectuer directement votre versement par :
chèque à l’ordre de l’agent comptable
ou par virement
Le bordereau de versement est disponible en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Pour toute question, vous pouvez vous adresser à Brigitte NATIVELLE, secrétaire en charge de la taxe d’apprentissage au 02 31 83 83 58 ou par mail à brigitte.nativelle1@educagri.fr .
Ce jeudi 18 novembre s’est tenu un Cross Solidaire contre la maladie de Huntington au Robillard.
Cet événement sportif a réuni 500 participants (environ 350 pour la marche et 150 pour la course). À l’issue des deux épreuves, les premiers de chaque catégorie (secondes, premières, terminales, BTS, et personnels) ont reçu une médaille. Théo Pouillet, Charline Pouillet, ainsi que M. Lawal ont vivement remercié tous les participants pour leur engagement dans ce beau moment de solidarité. Un goûter a clôturé cette manifestation. Les dons récoltés par les élèves, apprentis, étudiants et personnels s’élèvent à 3800 euros. Un succès !
En amont du cross, Charline Pouillet, étudiante en école de commerce à Rouen, était venue le mercredi 13 octobre 2021 rencontrer les élèves et étudiants du Robillard pour les sensibiliser à la maladie de Huntington, une maladie génétique, orpheline et incurable. Son père, ancien chef cuisinier du Robillard, en est atteint et Charline elle-même en est porteuse. Elle avait présenté les actions qu’elle mène avec son frère Théo depuis 4 ans pour parler de la maladie et récolter des fonds pour l’aide à la recherche. récolter des dons, remis lors du cross solidaire.
Rappel des actions menées ces dernières années : 2018 : Ascension du Mont blanc 2019 : Traversée de la France à vélo en 8 jours 2020 : Saint-Pierre-sur-Dives – Paris en courant : 200 kms en 48h 2021 : Traversée de l’Europe à vélo (Pampelune / Oslo) : 3000 kms en 15 jours
Charline et Théo Pouillet ont également créé leur association : “On détonne contre Huntington”. Sur Facebook : on détonne contre Huntington Sur Instagram : on_détonne_contre_Huntington
Un grand merci et un immense bravo à l’ensemble des participants et à l’équipe organisatrice pour ce très bel événement solidaire !
La finale départementale Calvados du Concours de Jugement d’Animaux par les Jeunes (CJAJ) aura lieu le mercredi 8 décembre 2021 au Robillard.
Le CJAJ est un concours ouvert à des jeunes de 15 à 25 ans, élèves de l’enseignement agricole ou jeunes professionnels. Il vise à évaluer leur aptitude au pointage et à l’appréciation morphologique des animaux reproducteurs des diverses races bovines, caprines, équines ou ovines.
La finale départementale Calvados du 8 décembre rassemblera des apprenants de l’EPL le Robillard, de la MFR de Blangy, ainsi que de l’EPL de Vire. Le jugement se déroulera durant la matinée, et la remise de prix aura lieu l’après-midi. Trois races bovines seront représentées : Normande, Prim’Holstein et Charolaise.
Robot de tonte mis à disposition par la Société Normande du Paysage
Tracteur autoguidé par GPS utilisé par nos apprentis démonstrateurs
Observation du processus de commande du Farmbot
J.-M. Routoure dans une analogie analogique-numérique
G. Grenier donnant le nom du premier robot agricole commercialisé
I. Zaoui décrivant les réalisations et produits de Conscience Robotics
Quelques-uns des résultats de l’enquête de la CRAN analysés par C. Collet.
Les conférenciers attentifs aux questions du public
Des étudiants impliqués à 200 % pour recevoir leurs hôtes
Tous solidaires ! Que de belles valeurs partagées au Robillard !
Merci pour les délicieuses crêpes et la bonne humeur !
Quelques heures avant l’annonce présidentielle d’un plan de financement au hauteur de 800 millions d’euros pour développer la filière de la robotique en France, se clôturait le premier salon Rob² (« Rob au carré ») au lycée agricole Le Robillard. Les apprentis en BTSA Génie Des Equipements Agricoles et Agronomie Production Végétale du CFA Le Robillard ne s’étaient donc pas trompés en organisant cet événement dédié à la robotique agricole. Ce projet s’inscrivait dans le développement d’un Module d’Initiative Locale (spécifique au Robillard) portant sur la robotique agricole de plein champ et dispensé depuis deux années dans notre établissement. Ouverts sur tous les types de robots agricoles, le salon avait pour objectif de sensibiliser les apprenants (du Robillard et d’ailleurs), les professionnels et le grand public aux technologies en plein essor dans le domaine agricole tout autant que dans l’industrie ou notre quotidien.
Au cours de ces deux jours (vendredi 22 et samedi 23 octobre), près de 200 visiteurs (apprenants et visiteurs extérieurs) auront pu découvrir parmi les robots agricoles les plus aboutis au monde. Chacun a pu apprécier les démonstrations des robots de chez Naïo et Farmdroid, robots de plein champ totalement autonomes, présentés respectivement par les démonstrateurs des distributeurs SM3 CLAAS et STECOMAT. Les visiteurs ont aussi beaucoup appris des descriptions des robots d’élevage des marques LELY, TRIOLIET et DELAVAL, respectivement représentées par les entreprises Lely Center de Marolles, Trioliet et Boca Elevage Service.
Par ailleurs, des étudiants et enseignants de l’établissement ont également pu présenter d’autres systèmes robotisés tels Pierre qui avait amené sur le site une bineuse optique Steketee – Lemken, Gabin qui avait monté un stand de démonstration de robot de tonte Husqvarna.
De leur côté, Alice et Adrien ont assuré les explications du robot de la marque suisse Ecorobotix, tandis qu’Alexis et Rémi œuvraient au volant d’un tracteur guidé par GPS. Enfin, M. Champeyrol, fervent développeur des nouvelles technologies au Robillard, et brillamment secondé par Tristan, a fait fonctionner le FARMBOT, robot “horticole” et pédagogique présent à demeure dans notre établissement.
Le samedi matin, les plus matinaux de ce premier week end des vacances scolaires ont pu suivre avec intérêt les conférences de grande qualité qui se sont enchaînées à l’amphithéâtre du Robillard. Le Professeur Jean-Marc ROUTOURE a ouvert la matinée par un exposé didactique donnant les fondements de la robotique et permettant même aux non-initiés de comprendre comment fonctionne un robot. Sa conférence s’est avérée fort utile pour comprendre celle du Professeur Gilbert GRENIER qui, avec clarté, précision, passion et objectivité, a éclairé l’auditoire des différentes étapes du développement des robots en agriculture. Il a brillamment montré que les technologies étaient arrivées à maturité pour permettre un essor de la robotique, répondant ainsi à certaines problématiques du monde agricole comme par exemple le manque de main d’œuvre ou les enjeux environnementaux. Pour autant, il n’a pas omis de relever que chaque exploitation est différente et que la robotique ne peut pas être une réponse à toutes les situations. A sa suite, M. Iliès ZAOUI est venu expliquer comment l’Intelligence Artificielle pouvait contribuer au développement de la robotique. Le fondateur et PDG de Conscience Robotics, entreprise d’Hérouville-Saint-Clair spécialisée dans l’IA et développant ses propres robots, a de façon limpide expliqué comment se développait “l’intelligence” des robots, dans une mémorisation partagée des expériences rencontrées par eux et par la sélection progressive des meilleures réponses à apporter à chaque situation. Nul doute que cette approche sera très vite utilisée par les robots agricoles qui n’exploitent pas encore tous cette technologie. Pour conclure cette matinée de conférence, Mme Céline COLLET, chargée de mission à la Chambre Régionale d’Agriculture de Normandie, a présenté les résultats d’une enquête commandée par la Chambre et menée par des étudiants d’Unilasalle. Cette enquête visait notamment à évaluer les freins à l’essor des robots dans les pratiques agricoles. Après avoir mentionné certaines difficultés liées aux conditions de l’étude (COVID oblige), Mme COLLET a partagé ses conclusions. Parmi les résultats intéressants de cette étude, l’un d’entre eux peut surprendre : la tranche d’âge la plus frileuse au développement des robots en agriculture serait celle des moins de 26 ans, ce qui peut étonner quand on connaît l’usage abondant des nouvelles technologies par les plus jeunes. D’autre part, l’étude rappelle que les robots sont assez bien acceptés pour des usages domestiques mais qu’ils sont beaucoup moins bien admis lorsqu’ils touchent au travail, souffrant d’une étiquette de “voleurs d’emplois” (un a priori que Mme COLLET aura eu à cœur de corriger, en rappelant que les pays les plus robotisés étaient ceux qui avaient su conserver le plus d’emplois industriels). Et de conclure que les robots pouvaient être une réponse au manque de main d’œuvre déjà évoqué.
Pour finir la matinée, une table ronde réunissant les quatre conférenciers a offert au public la possibilité de poser toutes les questions. Riches et féconds ont été les échanges, chacun s’exprimant librement et se répondant dans un grand respect des opinions de chacun.
Enfin, pour être complet sur la description de cette journée, nous n’oublierons pas de mentionner les nombreux sourires qui ont ensoleillé cette première édition de Rob². Les différents participants, qu’ils soient exposants, démonstrateurs, conférenciers, organisateurs étudiants ou personnels du Robillard et les visiteurs ont de toute évidence eu plaisir à échanger sur la complexe question de la robotique. Les étudiants porteurs du projet peuvent être fiers du travail accompli et de la qualité de leur organisation. Un grand merci à toutes les équipes du Robillard unies dans un même élan !
Rédaction : Nicolas Cheenne, formateur en Mathématiques, Physique et Agroéquipement
Le mercredi 6 octobre, les licences professionnelles Conseil en élevage spécialisé en Bien-être animal ont passé une journée sur la station expérimentale INRAé du Pin au Haras.
Suite à la visite de la station réalisée par Frédéric Launay, Directeur, et Annabelle Bachelet, ingénieure d’étude, les expérimentations en cours ont été présentées : Etude du pâturage des grands troupeaux et étude du bien-être animal au pâturage.
Ensuite, les étudiants ont animé en collaboration avec Clémence Bitu, animatrice du LIT Ouesterel, des ateliers de co- construction autour du BEA pour recueillir l’avis d’élèves de BTS ACSE et BTS PA du CFA de Sées.
Après le déjeuner, les étudiants ont pu échanger avec Lydiane Aubé, post doctorante à Vetagrosup qui mène l’étude sur le bien être des vaches laitières au pâturage.
Enfin, Clémence BITU leur a présenté les travaux de traque aux innovations engagés par le LIT Ouesterel. Dans le cadre des travaux sur le diagnostic de territoire, les étudiants vont participer à cette traque pour compléter les travaux du LIT.
Rédaction : Céline LEMIGNIER, formatrice en Economie, Zootechnie et Agroécologie.
[Article rédigé par les apprentis de 1ère CGEA du CFA Le Robillard]
En ce 12 octobre, les apprentis de 1ère CGEA du CFA sont allés visiter la ferme expérimentale de l’INRAE du Pin.
Le thème de cette journée proposée dans le cadre de la fête de la science était : « Élevage, pâturage, environnement : on en parle ? ». M. Frédéric Launay, directeur du domaine, ainsi que Clémence et Annabelle, nous ont guidé tout au long de cette matinée. L’équipe de 25 personnes mène différentes expérimentations sur 400 ha dont 350 de prairies et 600 bovins de 3 races différentes : Normande, Prim Holstein, Jersiaise.
Un lot de 60 Prim Holstein reste toute l’année en stabulation et robot de traite A5 Lely. Ce bâtiment est très automatisé : distribution automatique des fourrages à l’auge, avec pesées, distribution de concentré au DAC avec mesures de rejet de CH4 et une caméra qui permet de noter l’état corporel de la vache lors de ses passages au robot … toutes ces informations permettent d’alimenter en données chiffrées le suivi expérimental.
Le troupeau principal, constitué de 150 vaches laitières dont 1/3 de jersiaises, 1/3 de normandes et 1/3 de prim, pâture de mi mars à novembre en rotation simplifiée. Les prairies sont de type RG trèfle, regroupées autour de l’exploitation.
Cette visite très enrichissante, nous a permis de mieux comprendre le principe de l’expérimentation, qui prend à minima une dizaine d’années !
Pour sa première édition, le salon Rob², organisé par les apprentis en BTSA « Génie Des Equipements Agricoles » et BTSA « Agronomie Production Végétale », se tiendra les vendredi 22 et samedi 23 octobre au lycée agricole Le Robillard.
Ce salon à vocation didactique a pour ambition de permettre à des publics variés de mieux comprendre les évolutions techniques à venir dans le milieu agricole. En effet, la robotique agricole se développe de plus en plus vite. Elle est appelée à devenir assez rapidement la technologie majoritaire sur le marché de l’agroéquipement. Nous invitons donc particulièrement les publics suivants à nous rendre visite :
Agriculteurs, salariés d’ETA, de CUMA
Constructeur, distributeur ou réparateur d’agroéquipement
Etudiants, lycéens, collégiens intéressés par la haute technologie
Les enseignants en sciences et techniques
Tous les curieux, grands et petits, avides de découvertes passionnantes
Vendredi 22 octobre : public scolaire et grand public
Au cours de cette journée, des constructeurs et distributeurs de matériels agricoles robotisés présenteront leurs matériels, en expliqueront le fonctionnement, les avantages et les procédures d’intégration dans les pratiques professionnelles. Sont déjà annoncés les robots Lely (distribués par RUAULT SA), les robots Naïo (distribué par SM3-CLAAS), le robot Spoutnic (de la marque Tibot), les robots de la marque Trioliet… Nous ferons également des démonstrations du robot « pédagogique » Farmbot présent sur l’établissement.
10h30-12h : Exposition/démonstration de robots agricoles – Groupes scolaires 1
13h30-15h : Exposition/démonstration de robots agricoles – Groupes scolaires 2
15h-16h30 : Exposition/démonstration de robots agricoles – Groupes scolaires 3
16h30-18h : Exposition/démonstration de robots agricoles – Ouvert à tous !
Samedi 23 octobre : professionnels et grand public
La matinée sera consacrée à un ensemble de conférences et débat sur le thème de la robotique, de son acceptabilité, dans la vie courante et dans le milieu agricole en particulier, et l’après-midi aux expositions et démonstrations de robots agricoles.
9h – 10h : Un robot, cela fait (encore) ce qu’on lui dit de faire ! Par M. J.-M. ROUTOURE, Professeur en électronique à l’Université de CAEN et Chercheur au GREYC Instrumentation de CAEN
10h – 10h45 : La robotique agricole d’aujourd’hui et de demain. Par M. G. GRENIER, Professeur à l’école d’ingénieur agronome Bordeaux Sciences Agro
11h – 11h20 : Quel regard porte la société sur la robotisation de l’agriculture ? Par Mme C. COLLET, Chargée de mission à la Chambre d’Agriculture de Normandie
11h30 – 12h30 : Table ronde sur les atouts et les freins au développement de la robotique en agriculture / Réponses aux questions du public
12h30 – 14h00 : Repas / Barbecue organisé par les étudiants / Buvette sur place
14h – 18h00 : Exposition/démonstration de robots agricoles
Entrée gratuite. Pass sanitaire obligatoire. Restauration sur place le samedi. Réservation conseillée (nombre de places limitées à 200 personnes pour les conférences). Pour s’inscrire, suivez ce lien : https://forms.gle/dQ3yusXTFtG8W1ec6
Ce lundi 17 mai, la classe de 1ère Agroéquipement (AE) est allée à la rencontre de M. Letresor, dans le cadre de la découverte des métiers de l’agroéquipement.
M. Letrésor a repris l’exploitation de grandes cultures familiale en 1991. À la demande d’une grande coopérative, il a commencé par réaliser des prestations d’épandage de chaux chez des agriculteurs de la région. C’est ainsi que l’ETA Letrésor a démarré, et au fil des ans de nombreuses activités se sont vues proposées à la clientèle : pressage en round baler et big baler, moisson, labour, travail du sol, semis de céréales et maïs, pulvérisation, épandage d’engrais, transport de fourrages et céréales mais aussi TP. Actuellement, l’ETA compte 6 chauffeurs à temps plein en plus de M. et Mme Letrésor.
Suite à un temps de présentation, M. Letrésor a présenté à nos apprenants l’ensemble de son parc de matériel, récent et à la pointe de la technologie. L’échange s’est achevé autour d’un verre de jus d’orange, M. Letrésor rappelant alors que les ETA recherchent souvent des chauffeur sérieux, volontaires et passionnés d’agroéquipement.
Une visite intéressante pour ce groupe d’élèves passionnés de tracteurs ! Un grand merci à M. Letrésor pour son accueil.
Article rédigé par Olivier Rodts, enseignant en agroéquipements.
Découvrez nos Bac Pro Agroéquipement ! Par voie scolaire : cliquez ici. En apprentissage : cliquez ici.
Les élèves de l’enseignement agricole sont les meilleurs ambassadeurs de l’aventure du vivant : ils s’adressent directement au public à travers des témoignages pris sur le vif. Ils nous racontent leur vie dans l’établissement, leurs choix, ce qu’ils aiment dans leur formation et leur quotidien. Retrouvez une sélection de vidéos ci-dessous :
Des formations vers des métiers d’avenir, dans un secteur qui recrute
L’enseignement agricole est le second système éducatif en France. Il propose plus de 150 formations et permet la poursuite d’études dans l’enseignement supérieur (BTS, école vétérinaire, d’ingénieur ou de paysage, licence, DUT…). Des formations pour accéder à des métiers tournés vers l’avenir, en lien avec les aspirations des jeunes et les grands enjeux actuels. Cette campagne conduite par le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation se fait en partenariat avec les associations professionnelles des différentes filières concernées. Le besoin croissant de nouvelles compétences offre aux jeunes des débouchés professionnels pérennes. Les taux d’insertion professionnelle de l’enseignement agricole sont élevés : 82% d’insertion pour les Baccalauréats professionnels, 90% pour les BTSA et 93% pour l’enseignement supérieur long.
